Château de l’Escuray, Prinquiau - Association Renaissance du Patrimoine de l’Escuray
44260 PrinquiauPartenaire de la mairie de Prinquiau, l’A.R.P.E. a pour but de restaurer, faire connaître et faire vivre le château de L’Escurays.
Ce haut lieu du patrimoine historique de Prinquiau, raconté dans le livre Prinquiau et le château de L’Escurays fut d’abord un manoir breton médiéval à la fin du XIVème siècle. Le manoir sera ensuite agrandi et embelli vers 1600 dans le style de la Renaissance Bretonne.
L’A.R.P.E, association dynamique avec ses 150 adhérents, entretient, restaure le site de L’Escurays et organise un certain nombre de manifestations (randonnée pédestre, Journée du Patrimoine, vide-greniers…) afin de transmettre aux générations futures ce patrimoine historique de Prinquiau.
Château du Deffay
44160 Sainte-Reine-de-BretagneIdéalement positionné entre Nantes et la Baule, entre plages et campagne, au bord du parc de la Grande Brière, le château du Deffay se situe au cœur d’un paysage romantique de bois et d’étangs. La terre du Deffay est un important domaine seigneurial depuis le XVème siècle, et l’actuel château néo-renaissance, habité depuis cinq générations par la famille, évoque la riche histoire des lieux, en particulier l’épopée vendéenne de la Duchesse de Berry en 1832. La belle architecture intérieure, grands salons aux meubles anciens, escalier à double volée, chambres spacieuses et confortables sont le cadre de vie du jeune couple qui y habite et donne une nouvelle vie à ces lieux où il vous accueillera en amis.
Pour profiter du charme du parc de Brière et de sa proximité avec les plages et l’océan, le domaine vous propose un lieu chargé d’histoire où la quiétude et le charme sont les maîtres mots. Vous pourrez profiter de son parc et de son étang. L’histoire du château remonte pour les parties les plus anciennes au XIVe siècle, mais son aspect actuel est confirmé par une gravure datée de 1720. Il fût le témoin des révoltes chouannes (une faux montée à l’envers à été retrouvée cachée dans la charpente de la maison et est actuellement exposée dans l’escalier à double volée du château). Mais il fût également le témoin du passage de la Duchesse de Berry, lors de son périple en Bretagne et en Vendée afin de réunir autour d’elle la population pour que l’héritage de son fils soit reconnu (Henri V, petit-fils de Charles X, prétendant au trône de France).
Château du Quenet
44410 AsséracCe manoir du Quénet (étymologiquement endroit planté de chênes) fut construit à la fin du XVe par Guyon du Bochet pour remplacer celui de la famille de Couëssin qui avait été expropriée en 1487 par François II et dont le château, situé au lieu-dit La-Motte, avait été détruit selon la coutume de l’époque.
C’est en 1760 que la famille de Couëssin récupère le domaine et le manoir. Au XIXe, la chapelle fut construite par M. et Mme De La Rochette et bénite en 1857 par Monseigneur de L’Espinay, vicaire général de Nantes.
Aujourd’hui propriété de Juliette Moreau, l’entretien des bâtiments et du parc de 40 hectares est assuré avec les bois qu’il gère en respectant la biodiversité avec, par exemple, l’herbe non coupée sous les arbres pour garder la fraîcheur et une tonte limitée seulement à 80 % des surfaces.
Le domaine du Quénet propose également l’aile droite du manoir à la location à la semaine ou au week-end avec possibilité de couchage pour 14 personnes, si vous rêver de passer un moment de vie comme les chatelains
Église Sainte-Thérèse
Pl. de Reims, 44500 La Baule-EscoublacAvec l’installation de résidents à l’année, et de paroissiens de plus en plus nombreux en été, l’église Saint-Pierre d’Escoublac (au bourg) devint trop petite. Dès les années 1880, ce développement avait engendré la construction de la chapelle Notre-Dame-des-Flots (aujourd’hui chapelle Sainte-Anne) dans le centre baulois. Le quartier, la Baule les Pins, devait connaître une envolée et des transformations dans les années 1920-1930.
Aussi, après la création de la paroisse de la Baule en 1925, la chapelle de Sainte-Thérèse de la Baule vit le jour le 15 juillet 1925, sur la place de Reims. Les plans avaient été dessinés par l’architecte Adrien Grave, auteur par ailleurs d’un grand nombre de villas et des armoiries de La Baule-Escoublac. Cette première chapelle est construite en plusieurs étapes : on commence par élever un baptistère, puis la nef centrale, ensuite les bas-côtés, enfin un hangar derrière l’autel, surnommé « la remorque » par les fidèles. La bénédiction de la première pierre a lieu le 15 juillet 1928. Ne pouvant s’agrandir et devenant vétuste, la chapelle fût démolie au début de février 1972. L’église actuelle est construite en éléments préfabriqués sur les plans de l’architecte Perrin. Elle fut inaugurée le 25 juin 1972 par Monseigneur Vial, évêque de Nantes. En 2014, dans le respect de son architecture initiale, deux alvéoles sont construites. Elles permettent de bénéficier d’un bureau de secrétariat et de 2 salles de réunion dont l’une peut être subdivisée en deux. En 2017, des travaux renforçant l’isolation de sa toiture et l’isolation de ses plafonds sont réalisés.
La structure de l’édifice répond parfaitement à l’accueil d’un nombre très variable de personnes grâce à l’ouverture ou la fermeture de certaines alvéoles qui la composent.